Voilà une histoire qui me revient. Elle n'est pas très ancienne, on va dire il y a 2 ou 3 ans, à l'automne. Elle a commencé par un contact sur Internet, je ne sais plus très bien à travers quel site, à la suite d'une de mes annonces mentionnant mon goût très prononcé pour les jeux uro. Et elle a abouti à une rencontre, pendant une journée entière, dans une chambre d'hôtel que j'avais retenue, vers Aix-en-Provence.

A. (je vais appeler ainsi cette partenaire d'une fois) était un peu en retard (je connais l'attente, l'incertitude, le stress et l'excitation qui vont avec). Lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai été un peu surpris puisque la femme que j'avais devant moi ne correspondait pas tout à fait à ce que j'imaginais, plus âgée, plus ronde, moins douce et moins dans mon style que ce que nos échanges virtuels et téléphoniques m'avaient laissé supposer. Je crois qu'elle a été également surprise par la personne en face d'elle (moi) qu'elle avait peut-être imaginée davantage bcbg, en costume cravate, une sorte de vrp chic ...

Nous n'avions donc pas de réelle attirance physique mutuelle; c'est cela aussi le risque (et le charme), ou l'inverse, de ce genre de relation, mais cela n'empêche rien, comme le montre la suite de cette histoire.

A. était plutôt (très) bavarde, et déterminée c'est-à-dire prête à faire ce pour quoi elle était venue me retrouver. Et en ce sens nous étions sur la même longueur d'onde. Tout en discutant, nous nous étions installés sur le lit et A. avait commencé à se déshabiller. C'était une blonde à forte poitrine (!), un type auquel je n'étais pas habitué avec ma compagne. Ce n'était pas pour me déplaire, et j'ai passé beaucoup de temps à caresser et à jouer avec ses seins, lesquels en plus étaient extrêmement sensibles. Mais je n'avais encore rien vu ...

Comme toute bavarde, A. devait boire pour ne pas avoir la gorge sèche. Elle avait amené une bouteille d'eau minérale, j'avais amené du champagne (encore frais), et elle s'interrompait régulièrement pour boire, et nous trinquions. Et dans cette cette ambiance détendue et sensuelle, A. s'est retrouvée nue et je me suis rendu compte qu'elle était aussi extrêmement sensible du clitoris ! J'ai toujours beaucoup aimé utiliser mes mains pour donner du plaisir, mais là j'y ai aussi mis la langue. Un bon et long cunnilingus, qui l'a menée jusqu'à la jouissance, qui, chose extraordinaire, s'est accompagnée d'un fou rire tonitruant ! C'était surprenant et inattendu, et j'ai continué à lécher tant que j'ai pu pour que sa jouissance et son rire se poursuivent, et mes mains s'activaient aussi, des doigts dans son sexe et dans son anus pour que sa jouissance et son rire se poursuivent. Mais je n'avais pas encore tout vu ...

Une fois remise de ces émotions, A. m'a attiré dans la salle de bains. Elle s'est mise debout dans la douche et m'a fait asseoir sous elle. Mon visage était à nouveau au niveau de son sexe et je pouvais profiter de son côté humide et odorant. Mais ce n'était pas le but de notre positionnement à cet endroit. A. a commencé à uriner et c'était là l'objectif premier de notre rencontre. Oui, de petits jets ont commencé à émaner d'elle, et ça a été un moment incroyable pour moi. Elle était arrivée avec la vessie déjà bien pleine (m'a-t-elle dit ensuite) et avait bu avec moi plusieurs verres, elle a donc pu pisser sur moi largement plus d'un litre (record à battre). Et elle avait la capacité de pouvoir maîtriser son sphincter, de bloquer et de relâcher son urine, ce qui a permis de prolonger ce petit jeu pendant de longues minutes (là aussi record à battre !); je n'avais jamais connu ça ! Elle a donc alterné longs jets et jets courts, avec de petites pauses, et moi j'étais dessous à recevoir ce liquide chaud, sur le visage, dans les cheveux, le long du corps, à le sentir couler et à boire tout ce que je pouvais (j'en aime aussi le goût et je rêve d'une partenaire qui s'amuserait à m'en faire tester toute la variété selon son alimentation ou ses boissons), et j'aurais voulu que cette urine ne s'arrête jamais de venir sur moi, et je la remerciais de m'en donner autant ...

Mais même les moments divins ont une fin. Après une bonne douche (pendant laquelle nous nous sommes savonnés mutuellement, un autre plaisir très agréable) et la consommation de presque toute une tablette de chocolat noir, nous étions à nouveau très excités. A. a commencé à me faire une fellation (de qualité) et je n'ai pas résisté à nous positionner en 69, ce qui a abouti à un nouvel orgasme de sa part (un pour moi également) accompagné d'un nouveau fou rire mémorable.

L'après-midi s'est terminée par un rapport sexuel plus classique, l'un contre l'autre et l'un dans l'autre, plaisant, mais la pénétration n'est ni mon fort ni ma préférence (il y aurait d'ailleurs de quoi m'humilier là-dessus, dans le cadre de jeux de domination/soumission, nous en reparlerons peut-être).